Sans titre.

C'est super beau. = )

Merci beaucoup \o/
Voici la suite, je me suis sentie inspirée : )

Elle était différente de toutes les personnes que j'avais eu l'occasion de rencontrer dans ma vie. Elle n'avait peur de rien et voulait tout savoir. Elle avait soif de renouveau, de découvertes, posait sans cesse de nouvelles questions sur la vie. Mais pourquoi la vie, Devid ? Devid, tu crois qu'un jour je pourrais vivre mes rêves ?
Elle me fascinait tant que j'aurais tout donné pour la rendre heureuse. Intimidé par sa beauté et la grandeur de son âme, je restais muet lorsqu'elle et moi nous couchions dans l'herbe pour discuter de mystères de ce monde. Dans sa candeur, elle me provoquait parfois, comme lorsqu'elle m'invitait à me baigner avec elle dans le lac. Viens Devid, riait-elle, tout en retirant ses vêtements et me dévoilant sa peau douce et laiteuse, piquée à vif par le vent qui soufflait. Je détournais le regard de cette scène fantastique mais ne résistais pas à l'extase d'observer ses courbes, alors que d'un pas mal assuré elle plongeait ses pieds fins dans l'eau, créant une onde qui se propageait au loin.
- Devid ! Lève-toi, c'est l'heure !
Encore le même rêve. Sa peau nue et blanche, la rondeur de ses seins, son sourire...
Je me levai en me frottant vigoureusement le visage, puis observai mes pieds en laissant à mes yeux le temps de faire le point. Je croisai le miroir de ma chambre mais n'y jetai pas un coup d'oeil : je me serais recouché aussitôt.
Dans la cuisine, ma mère tartinait des tranches de pain d'un air sévère, lançant de temps à autre un oeil méfiant à Alfonso qui s'amusait à repeindre la toile cirée avec de la confiture. Je m'assis en silence et administrai une tape derrière la nuque de mon frère qui se mit à hurler. Je ne levai même pas les yeux de mon bol de café alors que Maman nous réprimandait en italien.
- Devid, il faudra passer chez Mme Klein, ce soir. Je lui ai promis une part de tarte. Tu iras ?
- C'est elle la vieille. C'est elle qui devrait nous faire des tartes.
- Devid ! Elle a 90 ans ! Alfonso, arrête avec cette confiture, Dio mio ! On est en retard à l'école !
Je plongeai dans mon bol pour cacher mon sourire en regardant Maman faire les cent pas dans la cuisine, son tablier à la main, grommelant Perché ? Io non lo merito... Alfonso me gratifia d'un grand sourire tout barbouillé de fraise et nous partîmes cahin-caha sur le chemin de l'école.
Maman insistait toujours pour me déposer au lycée malgré mon âge. Ça lui faisait plaisir de me savoir en sécurité dans l'habitacle, avec elle pour quelques minutes encore, et ça me convenait aussi, je ne m'en plaignais donc pas. Je déposai un baiser sur sa joue et ébouriffai les cheveux de mon frère avant de descendre du véhicule, mon sac sur l'épaule. La sonnerie retentissait à peine mon pied entré dans l'établissement, je pressai le pas en me dirigeant vers ma salle de classe. Je prenais place sur ma paillasse, pour mon cours de Chimie, aux côtés d'un type dont je n'avais pas retenu le nom. A vrai dire, je ne retenais jamais le nom de personne.
J'avais peu d'amis, au lycée, j'étais bien trop préoccupé. Par ma mère, pour commencer. J'ignore encore qui s'inquiétait le plus pour l'autre, mais si elle le montrait au grand jour, comme chaque mère qui s'inquiète pour son bien aimé fils, je jouais mon rôle en cachette, la couvant des yeux et la protégeant dans le plus grand secret, lui donnant toujours l'illusion qu'elle était pour moi la plus forte, la plus courageuse... Sans mon père, Maman était débordée. Alfonso n'avait que 8 ans et ne comprenait pas tout, mais je savais que chaque mois elle faisait de son mieux pour joindre les deux bouts, tout en s'efforçant de nous le dissimuler. J'entrais dans son jeu et bossais de mon côté sans qu'elle le sache, tantôt aidant des grands-mère à entretenir leur jardin, tantôt en effectuant des tâches moins louables, sur quelques parkings lugubres. On vivait comme ça depuis trois ans, maintenant, et je dois dire qu'on s'en sortait plutôt pas mal.
A part ma mère, il n'y avait que deux choses qui occupait mon esprit le reste du temps : les études, et Elle. Deux choses purement contradictoires, étant donné que penser à la deuxième m'empêchait totalement de me concentrer sur la première. J'accordais une importance primordiale au travail, mais depuis qu'elle avait bouleversé ma vie, plus rien ne se passait comme avant...
A chaque instant l'image de son sourire, de ses yeux pouvaient infiltrer ma tête et réduire à néant toutes mes convictions sur le travail acharné. Il m'était souvent arrivé de laisser mon esprit gambader pendant les cours, et repenser à nos baignades au bord du lac. Je devais alors vite me détourner de cette vision avant de faire profiter mon bonheur au reste de la classe..
Étais-je amoureux d'elle ? Impossible de le dire. S'était engrené un subtil jeu de fascination dans lequel j'étais réduit à l'état d'un misérable vermisseau, un chien de cirque. Il suffisait qu'elle claquât des doigts pour me faire exécuter le moindre de ses ordres.
Dans sa naïve innocence, pourtant, elle ignorait tout à fait l'effet qu'elle pouvait bien avoir, et toute la puissance qu'elle dégageait.
La mascarade pouvait s'avérer très dangereuse, et nous allions en avoir la confirmation par la suite...

Ola, merci Mila pour cette faute horrible o___O
Et désolée pour l'italien, j'en parle pas un mot, donc j'ai fait comme j'ai pu xD

Milana a raison pour l'italien : )

Et c'est du grand, du grand. ; )

J'aime vraiment vraiment beaucoup Dakota, ça se lit tout seul, c'est simple, c'est beau *_*

Merci, merci, merci \o/
Voici la suite, mes amis !

A la fin de l'heure mon binôme et moi rendions notre devoir, et je me rendais en cours d'Anglais. J'avais beau faire tous les efforts possible, ce cours me donnait énormément de fil à retordre. Je mettais ma médiocrité dans la langue de Shakespeare sur le compte de mes origines latines, ce qui expliquerait mon incapacité totale à apprendre cette idiome anglo-saxon, mais ce n'était apparemment pas suffisant pour mon professeur, qui s'arrachait les cheveux face à mon accent. C'est donc à reculons que j'entrais en cours, programmant à l'avance une heure de rêveries sur ma dernière escapade au lac en compagnie de ma nymphe...
La journée passa rapidement. Il me suffisait d'alterner entre concentration pendant les cours intéressants, et méditation pendant les heures soporifiques, ainsi, la fin des cours arrivait sans même que je n'ai eu le temps de m'en rendre compte.
Je rentrai chez moi en car, et traversai la petite rue qui menait jusqu'à notre appartement. Le voisinage était plutôt calme, ici. Notre immeuble était vieux et fissuré, en plus d'être encastré entre deux autres antiquités du même type, mais nous avions une vue imprenable sur le lac Leman, peut-être même la plus belle de tout Genève. Du moins, j'essayais de m'en persuader pour oublier que notre train de vie ne nous permettait pas de vivre plus luxueusement. Je dérangeai une castagne de chats en déboulant dans l'entrée, puis introduisis la clé dans la porte d'entrée de la résidence où nous habitions au deuxième étage. L'ascenseur était en panne depuis deux semaines, mais personne ne prenait la peine d'envoyer un mécanicien le faire réparer. Je pris donc l'escalier en colimaçon quatre à quatre, puis ouvris la porte de l'appartement.
Mes yeux se posèrent instantanément sur Alfonso, les yeux rivés sur l'écran de télévision du salon, tenant entre ses doigts une manette de jeux qu'il agitait avec dextérité. Je levai les yeux au ciel et m'approchai de lui doucement avant de lui tirer vivement l'oreille droite.
- T'as fait des devoirs ? demandai-je avec calme, sourd à ses protestations.
- Aïe, oui, je les ai faits ! Lâche-moi, j'vais perdre.
Incrédule, je lâchai tout de même l'oreille du monstre qui reprit son jeu comme si de rien était. Je partis vers ma chambre pour faire mes propres exercices, non sans avoir subtilisé au préalable une barre chocolatée dans le placard de la cuisine. J'allumai la chaine stéréo de ma chambre et lançai l'album de Eagle Eyes Cherry. Sous la mélodie entrainante de Falling in love again, je sortis mon agenda pour étudier et ne prêtai plus attention à rien d'autre pendant une heure entière. Entre temps, Maman était rentrée à la maison et j'avais eu l'occasion d'entendre un de ses terribles accès de fureur italiens lorsqu'elle avait découvert Alfonso abruti devant sa console. Mon travail terminé, je m'autorisai enfin à sortir de ma chambre pour rejoindre ma mère à la cuisine. J'embrassai son front contrarié en la saluant. Elle ne leva pas les yeux de sa casserole.
- Ton frère va me rendre folle. Sors moi un plat, s'il te plait.
Elle renversa les raviolis dans le saladier que je lui tendais puis vida une boite de sauce tomate par dessus avant d'appeler Alfonso pour passer à table.
Nous mangeâmes comme à l'accoutumée dans nos assiettes ébréchées et dépareillées. Maman me demanda de raconter ma journée de cours mais ne m'écouta pas répondre, trop fatiguée par sa journée et par Alfonso qui faisait voler ses raviolis dans les airs en imitant des bruits d'avion. Je me tus tristement et finis de manger avant de débarrasser mon assiette et de filer dans ma chambre où je remis la musique.
Mes yeux se posèrent sur mon appareil photo. Un reflex numérique que Maman m'avait offert pour mon anniversaire, et qui avait dû lui coûter les yeux de la tête. Mais ma joie à sa réception avait sûrement effacé toutes ses craintes de fins de mois difficiles...
Je prenais des clichés de tout et n'importe quoi, testant tous les modes possibles de la machine. Au fil des mois, en tâtonnant, j'avais appris à connaître l'engin, et je commençais à prendre le coup de main. J'aimais les natures mortes et les paysages, mais mon modèle préféré n'était pas bien difficile à deviner. Combien de fois avais-je appuyé sur ces boutons afin d'immortaliser sa beauté et l'enfermer dans cette petite boite, à défaut de pouvoir apprivoiser ce papillon sauvage ? Malheureusement, ces images figées n'étaient jamais à la hauteur de sa splendeur, car dépourvues de toute la vie qu'il y avait dans le moindre de ces gestes, ou de l'étincelle fugace qui naissait parfois dans ses yeux rieurs.

Gé-nial ! Tous simplement

J'ai pas le temps de lire mais tu vas avoir l'honneur d'être imprimée par mon impimante <3

xD
Chaque fois que tu fais ça j'ai l'impression d'être publiée, en quelques sortes *-*
Ça fait bizarre de me dire que y'a de exemplaires sur papier de ce que j'écris jusqu'en Nouvelle Calédonie, quoi ! x)

Ca y est, j'ai lu les deux suites, c'est magnifique, c'est superbe, parfait. Continue, c'est vraiment génial.
C'est unique en son genre, en plus, tu mériterais d'être vraiment publiée, c'est sûr !

Waw !! J'ai tout lu d'une traite !! C'est très bien écrit, ça se lit facilement : c'est fin, très fin, ça se mange sans fin !! xD

La suite : )

Je m'assis face à mon ordinateur afin d'y entrer mes nouvelles prises, et me calai un peu plus profondément dans mon siège pendant le chargement des 57 images. La plupart étaient bonnes à jeter : floues, sans intérêt, ou trop sombres. D'autres en revanche, prises sur le vif me rendaient assez fier de moi. L'une d'elle représentait un chat en plein vol, sautant d'un toit à un autre, et constituait un véritable petit chef d'œuvre.
Douze des images avaient pour sujet ma belle brune. Bien qu'elle ne soient pas les meilleures en terme de qualité - entre autres à cause de mes doigts tremblants lors de leur prise - c'étaient, comme d'habitude, mes favorites. Un sourire s'esquissait sur mes lèvres tandis que je l'observai sur l'écran, passant la main dans ses cheveux humides, une petite fossette naissant au coin de sa bouche charnue. Une joue calée contre ma main, je scrutai attentivement chaque détail de son visage avec un air béat. Mais arrivé à la dernière image, une fois le ravissement idiot passé, je fronçai les sourcils à la vue d'un détail qui m'avait échappé au premier abord.
Elle souriait, certes. Mais ces yeux verts d'habitude si pétillants étaient ici ternis d'une tristesse à peine visible, tremblotante, presque mécontente d'avoir été capturée de force par l'appareil et de m'apparaître, même faiblement, devant les yeux. Son regard fuyant avait quelque chose de mélancolique, d'apeuré, de perdu. Quelque chose de déçu. Je fulminai devant le cliché; si je ne me trompais pas et qu'elle était réellement malheureuse ce jour là, je me maudissais de n'avoir rien remarqué de son trouble.
Je passai encore une heure à trier et retoucher mes images, non sans penser à la tristesse que j'avais lue dans ses yeux. Aux environs de 23 heures, je coupai la musique et me couchai, contrarié, avant de sombrer quelques minutes plus tard dans un sommeil agité. Une fois de plus, je rêvai d'elle. L'onde miroitante du lac se reflétait contre ses courbes nues, tandis qu'elle riait aux éclats. Moi, soucieux, je tentai de lui extirper quelques informations sur la nature de son air triste. Me riant au nez, elle ramassait quelques petits cailloux dans l'eau et me les lançai dessus
- Arrête avec tes bêtises, je vais très bien, gloussait-elle.
- Je n'en crois pas un mot.
- Mais si !
Tout en insistant, elle se saisissait de pierres plus grosses et me les lançait plus violemment. A la fin, les galets fusaient sur moi, me lapidant, transperçant ma peau, pendant qu'elle me criait avec force qu'elle n'était pas triste, vraiment pas. C'est à ce moment là que je me réveillai en sursaut.
Contre ma fenêtre, j'entendais un bruit. Toc, toc, TOC. Je finis par comprendre que quelqu'un lançait des cailloux contre ma vitre pour me réveiller, d'où ce rêve étrange où j'étais tué par lapidation. Je frottai un peu mes yeux endormis et sortis du lit pour aller ouvrir le chambranle. En bas, tenant dans une main une poignée de petits graviers, la deuxième déjà prête à en lancer un autre contre ma vitre, elle m'observait de ses grands yeux verts, à la lumière artificielle du réverbère. Je poussai un soupir mi-agacé, mi-heureux tout en jetant un coup d'oeil à ma montre. Il était plus d'une heure du matin.
- Descend ! J'arrive pas à dormir...
- Je vois ça ! Moi par contre, tu m'as réveillé, la taquinai-je.
- Vraiment désolée. Il faut que je te parle !
- Bouge pas, j'arrive.
J'enfilai un jean par dessus mon boxer et traversai l'appartement à pas de loup. Je fus en bas de la résidence quelques minutes plus tard. Son visage rayonnant me fit chavirer et je pensai soudain que ça valait la peine d'être réveillé.
- Merci, murmura t-elle en déposant un baiser sur ma joue. On descend au lac ?
- A votre service.
Nous marchâmes en silence jusqu'à notre lieu de rendez-vous préféré, et nous prîmes place sur les pierres plates près de l'eau, inébranlables depuis tant d'années. Je joignais les mains devant moi, coudes sur les genoux et dis en regardant l'eau :
- Tu n'arrivais pas à dormir..
- C'est ça.
- Et tu voulais qu'on en discute..
- C'est ça.
- Bon ?
- Arrête, c'est pas si simple.
- Naïs... Tu me dis tout. Depuis quand c'est pas si simple ?
- Depuis.. maintenant. Oh, et puis j'en sais rien, dit-elle en envoyant valser un bout de bois dans le lac.
- Tu me sors du lit en plein milieu de la nuit pour me dire ça ?
Je faisais semblant de m'énerver. Je voulais qu'elle ait peur de m'avoir froissé, de me voir partir. Je voulais qu'elle parle. Mais elle se tut, tripotant ses ongles. Je fis mine de partir, me levant de mon siège improvisé.
- Bon, écoute, j'ai sommeil, je rentre chez moi.
- Devid ! Je ne t'ai pas appelé pour rien. Si tu réfléchissais deux secondes dans ton crâne de piaf, tu comprendrais que c'est important. Alors, assieds-toi !
Surpris par cette autorité nouvelle, j'obéis et l'observai en silence.
- Désolée.. Assieds-toi, s'il te plait.
Elle tourna la tête vers le lac et respira une grande bouffée de l'air nocturne. Porta la main à ses lèvres, s'agita, se gratta, jeta un caillou dans l'eau, puis se tourna vers moi. Ses yeux brillaient intensément, je la savais au bord des larmes. Je dus faire un intense effort pour ne pas la prendre dans mes bras, car ce geste aurait anéanti toute son envie de se confier enfin.
- Je veux partir, lâcha t-elle enfin.
- Tu veux partir où ?
- Chut, laisse-moi continuer. Je veux partir, n'importe où, mais je ne veux pas rester ici. J'en ai marre, de cette ville, de ce lac, de ces gens, de, de...
- Naïs..
- Tais-toi ! S'il te plait... Je m'en fiche d'avoir quinze ans, d'avoir pas d'argent. L'argent, de toute façon, ça sert à rien je crois. Chez moi, il sert juste à mon père, pour qu'il s'achète à boire, et qu'ensuite il tape sur Maman. Ça a finit pas arriver, hier soir, tu sais, à force.. J'ai pas supporté, tu comprends ? Moi je pense qu'on peut, Devid, on peut. On peut s'en aller et vivre autrement, sans se demander de quoi demain sera fait, sans s'encombrer de toutes ces conneries... On peut vivre notre vie à fond et mourir sans aucun regret.
Je regardai les larmes couler, formant des sillons sur ses tempes douces, puis plonger dans ses lèvres pleines en un flot salé et dévastateur. Après quelques secondes d'hésitation, je posai la question qui me démangeait.
- On qui, Naïs ?
Elle fixa ses iris dans les miens d'un air déterminé, lécha ses lèvres salées et dit d'une voix un peu rauque :
- Toi et moi. Je veux qu'on parte ensemble.

J'aime, j'aime, j'AIIIME ! *___*
En plus j'ai lu ça en écoutant "Set The Fire To The Thrid Bar" de Snow Patrol, et les deux vois allaient super bien. La voix aigüe de la fille pour Nais, et celle du chanteur pour Devid, impeccable
Un instant magique, j'en veux encore. Et je veux savoir la réaction de Devid !!

Sacrébleu ! Elle est géniale ta chanson Agnès ! Houhouuhouuuh \o/

T'as vu ça ? Elle est énorme ! *____*

J'adore ! Qu'est-ce que c'est bien écrit ! Qu'est-ce que c'est beau ! La suite. =]

Ah, possible. j'y connais pas grand chose ^^"
Et puis Devid embellit un peu la réalité, aussi x)
Mais merci Mila pour te compliments, venant de toi ça me touche beaucoup *-*